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Jijel, Les grandes Histoires |
En tant que chef de la zone que l'on appellera plus tard le Nord Constantinois, Didouche Mourad mérite amplement sa place dans cet hommage à nos martyrs . Mais c'est le sermon cité en haut qui nous a le plus ému.
Mobilisé comme réserviste dans l’armée coloniale au début de l’insurrection de novembre 1954, Bouridah Seddik pris très mal cette décision, se rebiffa, et en pur nationaliste, décide de rejoindre la révolution en accomplissant une opération fidayîn à Jijel...
Khellaf Abdenour
« Comment quelqu’un qui vit dans une si grandiose maison, qui possède un beau et raffiné salon comme celui-là, puisse laisser tout ce luxe et monter dans la montagne pour affronter le dénuement et les âpretés? Je crois que c’en est fini de la France. ». Ce sont les paroles crûment prononcées par un gradé de l'armée française venu perquisitionner la maison du père de Khellaf Abdenour, dont le fils venait tout juste de rejoindre le maquis en 1957..
Dekhli Mokhtar
Au déclenchement de la révolution de 1954, il est envoyé par ses responsables, dont Ammar, vers la région de Jijel, pour intégrer les cellules de Bentobal à Chekfa
A l'âge de sept ans, Bounar Rachid est scolarisé à l'école primaire du « Fondouk » puis transféré à celle de Jean Jaurès. Le 13 novembre 1942, quand un bataillon anglais prit ses quartiers dans la région de Jijel, il rompit définitivement avec les bancs de l'école. Il venait de perdre précocement sa mère Houria et n'avait alors que dix ans...